Traditionnellement, un contrat de syndic est de 12, 24 ou 36 mois.

Notre politique est de demander à chaque assemblée générale ordinaire une reconduction de nos services par un nouveau contrat.

Pourquoi ? Parce que nous voulons être sûr que les copropriétaires sont satisfaits de notre travail et veulent continuer à nous faire confiance.

Nous disposons ainsi chaque année du même contrat pour toutes nos copropriétés. Nous avons ainsi la certitude d'être correctement couverts dans notre mission, et donc la copropriété également.

Parce qu'il arrive parfois qu'il y ai un écart de 13 ou 14 mois entre deux assemblées générales ordinaires et que dans ce cas, le syndic est totalement bloqué. Il ne peut même plus convoquer une assemblée générale...

Et en cas de rupture ?

Certains copropriétaires voudraient voir raccourcir cette période. Ils craignent qu'en cas de problèmes, la copropriété soit liée avec Serenity 18 mois sans pouvoir résilier.

La loi est pourtant de leur côté : l'assemblée générale est souveraine pour toute décision et peut mettre fin à tout contrat, y compris celui du syndic, quand elle le souhaite, moyennant le préavis prévu dans le contrat ou l'indemnité de rupture.

Et chez Serenity, il n'y a ni préavis imposé, ni indemnité de rupture.

Si la collaboration n'est pas satisfaisante, l'assemblée générale peut mettre fin au contrat quand elle le souhaite.